Cinéma autochtone - Gala de remise des prix de Présence Autochtone

Peut-être à cause du site tout simplement magnifique et des concerts grandioses, il arrive qu'on oublie que le festival Présence autochtone est aussi un festival de films, qui encourage le développement du cinéma autochtone d'ici et d'ailleurs en reconnaissant le travail accompli par ses meilleurs artisans. Ce travail permet aux Autochtones de se réapproprier leur propre image au cinéma et à leurs communautés de se définir elles-mêmes plutôt que de se faire imposer des étiquettes.

Pour ce qui est de la créativité artistique des cinéastes autochtones, les deux prix Teueikan ont été donnés à l'Australienne Beck Cole pour son film Here I am, et à l'Argentin Sebastian Lingiardi pour El Lugar del Manduré. Le prix du meilleur court métrage est allé à Whakatiki de la Néo-Zélandaise Louise Leitch. Sakay Ottawa a impressionné tout le monde en gagnant le prix Coup de coeur pour son court métrage, Aci ni micta cikateriten (Je commence à m’ennu Le film a égalemeyer), ainsi que le prix de la relève. Aussi à noter, Amaqqut Nunaat de Nell Christophera remporté le prix du meilleur film d'animation, le prix Séquences du meilleur documentaire a été remporté par Granito : How to Nail a Dictator.

Finalement, le grand prix Rigoberta Menchu, qui récompense l'impact social des cinéastes a été remis à la série réalisée conjointement par Radio-Canada et CBC, 8e feu/8th Fire. Un deuxième prix a été donné à Eu nao posso morrer de graçaau, un documentaire brésilien de Vincent Carelli et d'Ernesto de Carvalho Krohokrenhum.



Crédit photo: Marc Saindon


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